|
|
|
|
Retour
|
|
|
Dès que je l'ai vu Je l'ai su : J'habite au Paradis, A chacun je le dis. Il me fallait vivre en ces lieux, Voilà qui est merveilleux. Sans me voiler la face Poser là ma besace.
Sans jamais me rassasier De cette infinie beauté, Contempler les collines Et les herbes fines, Le clair soleil Dans le couchant vermeil Reflétant sa couleur sang Sur mon bel étang.
|
Les poules d'eau, Les canards sur l'eau Trouvent leur bonheur Dans la chaleur. Au fil de son âge Le clocher du village Sans jamais rien dire Avec fierté se mire.
|
Mon Paradis
|
|
Passant si tu trouves mon paradis Ecoute à l'infini Le chant des oiseaux Dans les roseaux. Emplis tes yeux, Il n'y en a pas deux.
|
Poème inédit de Marie-Claude PINEAU - Essor poétique vendéen
|
|
|
|
|